Les frappés du canot - Récit 2006 - Jour 3

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Récits - 2006

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Jour 3

Journée repos avant le grand saut. Après un petit déj dans notre chaleureux petit appart du 7 Hamel, petite visite à la Vie Sportive. Là, nous rencontrons notre ami Phil qui nous fournit 5 tuques aux pompons bleu blanc rouge pour peaufiner notre tenue de canotiers Français… Excellente Nouvelle ! Merci La Vie ! Ensuite, il nous faut notre carburant pour la soirée qui sera certainement un peu longue puisque nous nous préparons pour nos premières qualifications de LA saison…

Nous dînons, en bon terme québécois, au « Café de la Vie » et prenons la route vers 16H00, direction Baie St Paul. Là, commence l’épisode « couture », l’équipe de canot devient alors l’équipe mixte de couturières, et tout le monde se met à coudre son petit drapeau français sur le côté de la tuque et de la veste. Même le facteur s’y met, c’est pour dire !!! Certaines personnes gardent parfois en elles des ressources insoupçonnées, si tu savais Tina ! Toute la famille des canotiers se retrouve peu à peu dans la salle municipale à côté de l’église. De nouvelles têtes font leur apparition, il semble que le canot touche de plus en plus de jeunes équipes, tant mieux. Nous soulevons aussi une certaine curiosité et les gens nous demandent tous ce qui nous pousse, nous Français à vouloir faire 6000 km pour affronter les eaux glacées du fleuve St Laurent. Ils sont à la fois fiers et étonnés de voir notre motivation.

Nous nous préparons dans la joie et la bonne humeur et prenons quelques minutes pour reconnaître le fameux parcours… une rue toute droite, remplie de neige avec un seul virage qu’il faut prendre à tribord… ce sera donc Coco qui va devoir faire le balan, tant mieux, elle aime ça faire le singe !!! La bande de joyeux « stroumphs » et « shroumphettes » commence son petit échauffement autour de l’église, il faut bien faire comme les pros ! Ensuite, récupération du canot dans le fond du parking…. Nous mettons notre charmante Alex à contribution pour "chauffer" le char automatique… Mais ce n’est pas du tout gagné, y a pas assez de pédales à son goût. Hihihi ! Lorsque le canot atteint le sol, nous tentons une première poussée pour analyser notre cirage… ohoh, déception, il ne glisse pas « pantoutte Â» !

Enfin notre tour, nous sommes à peine prêts lorsque le coup de feu est donné…La neige est molle, les jambes sont lourdes, la rue est longue ! Le cône orange apparaît enfin et nous tournons à tribord comme prévu. CoCo fait son balan mais le canot semble collé, on se demande pourquoi... La rue remonte un peu, il faut courir et soudain, c’est le drame ! Dame Sylvie chûte en pleine gloire, super CoCo l’attrape d’une main en lui pinçant fortement le bras. Cette dernière crie, « non ! Lâche moi !! » le bras sauveur laisse lourdement tomber sa protégée et le canot s’arrête d’un seul coup. Une équipe, c’est une équipe, s’il en manque un, ce n’est plus une équipe. Mais dès que Sylvie nous crie de continuer, nous relançons le canot et le coup de trottinette reprend de plus belle ! Nous nous donnons à fond jusqu’à l’arrivée en un temps de 2 min et 7 secondes, nous serons les malheureux bons derniers. L’important est de participer, n’est ce pas ? Il faudra ensuite attendre le traversier de 22H00 avant de nous rendre sur l’île puis un souper tardif chez Ticoq et enfin, nous atteignons nos lits, il est 00h00.

Jour 3

Journée repos avant le grand saut. Après un petit déj dans notre chaleureux petit appart du 7 Hamel, petite visite à la Vie Sportive. Là, nous rencontrons notre ami Phil qui nous fournit 5 tuques aux pompons bleu blanc rouge pour peaufiner notre tenue de canotiers Français… Excellente Nouvelle ! Merci La Vie ! Ensuite, il nous faut notre carburant pour la soirée qui sera certainement un peu longue puisque nous nous préparons pour nos premières qualifications de LA saison…

Nous dînons, en bon terme québécois, au « Café de la Vie » et prenons la route vers 16H00, direction Baie St Paul. Là, commence l’épisode « couture », l’équipe de canot devient alors l’équipe mixte de couturières, et tout le monde se met à coudre son petit drapeau français sur le côté de la tuque et de la veste. Même le facteur s’y met, c’est pour dire !!! Certaines personnes gardent parfois en elles des ressources insoupçonnées, si tu savais Tina ! Toute la famille des canotiers se retrouve peu à peu dans la salle municipale à côté de l’église. De nouvelles têtes font leur apparition, il semble que le canot touche de plus en plus de jeunes équipes, tant mieux. Nous soulevons aussi une certaine curiosité et les gens nous demandent tous ce qui nous pousse, nous Français à vouloir faire 6000 km pour affronter les eaux glacées du fleuve St Laurent. Ils sont à la fois fiers et étonnés de voir notre motivation.

Nous nous préparons dans la joie et la bonne humeur et prenons quelques minutes pour reconnaître le fameux parcours… une rue toute droite, remplie de neige avec un seul virage qu’il faut prendre à tribord… ce sera donc Coco qui va devoir faire le balan, tant mieux, elle aime ça faire le singe !!! La bande de joyeux « stroumphs » et « shroumphettes » commence son petit échauffement autour de l’église, il faut bien faire comme les pros ! Ensuite, récupération du canot dans le fond du parking…. Nous mettons notre charmante Alex à contribution pour "chauffer" le char automatique… Mais ce n’est pas du tout gagné, y a pas assez de pédales à son goût. Hihihi ! Lorsque le canot atteint le sol, nous tentons une première poussée pour analyser notre cirage… ohoh, déception, il ne glisse pas « pantoutte Â» !

Enfin notre tour, nous sommes à peine prêts lorsque le coup de feu est donné…La neige est molle, les jambes sont lourdes, la rue est longue ! Le cône orange apparaît enfin et nous tournons à tribord comme prévu. CoCo fait son balan mais le canot semble collé, on se demande pourquoi... La rue remonte un peu, il faut courir et soudain, c’est le drame ! Dame Sylvie chûte en pleine gloire, super CoCo l’attrape d’une main en lui pinçant fortement le bras. Cette dernière crie, « non ! Lâche moi !! » le bras sauveur laisse lourdement tomber sa protégée et le canot s’arrête d’un seul coup. Une équipe, c’est une équipe, s’il en manque un, ce n’est plus une équipe. Mais dès que Sylvie nous crie de continuer, nous relançons le canot et le coup de trottinette reprend de plus belle ! Nous nous donnons à fond jusqu’à l’arrivée en un temps de 2 min et 7 secondes, nous serons les malheureux bons derniers. L’important est de participer, n’est ce pas ? Il faudra ensuite attendre le traversier de 22H00 avant de nous rendre sur l’île puis un souper tardif chez Ticoq et enfin, nous atteignons nos lits, il est 00h00.

photo 2006
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